lundi 16 février 2015

Petite poésie de nuit

La nuit coule, encore, toujours
Il en émane des fantômes divins
Et tant d'autres tentants instincts.
Ici, sans plus aucun détour !
Ton odeur d'homme nu,
Là sur ta moelleuse peau.
Je mords ton cul si beau
Ta peau est si émue...
Là, entre tes cuisses :
toutes les heures sont exquises
Lorsqu'elles sont si bien mises
Là, entre mes cuisses.


Pour lire les précédents billets : Les petites poésies de nuit

0 commentaires :

Enregistrer un commentaire